Une nouvelle taxe sur les virements entre amis [poisson d’avril]

Alerte Info: Nouvelle taxe sur les virements entre amis! Découvrez les détails [Poisson d’Avril]

Mis à jour le :

En France, plus de 99 % de la population possède un compte bancaire, et l’utilisation de l’argent liquide diminue progressivement, laissant place aux paiements numériques. L’avènement des transferts instantanés et des applications de paiement entre individus a non seulement popularisé ces méthodes, mais a également capté l’intérêt de l’administration fiscale.

Zoom sur les transferts d’argent entre particuliers

L’avancement des technologies de paiement numérique a normalisé les transferts d’argent entre proches en France. Que ce soit pour régler une note de restaurant, rembourser un billet de concert ou partager un loyer, ces échanges financiers se chiffrent à des millions quotidiennement.

Le transfert instantané d’argent entre individus connaît une augmentation significative, avec une croissance de 70 % en volume. Ces transactions représentent désormais 9 % de l’ensemble des virements effectués, soit une augmentation de 47 % (plus de 113 milliards d’euros au premier semestre de 2024 comparativement à 77,1 milliards d’euros au premier semestre de 2023).

Lire aussi  Les Français et l'argent liquide: un amour qui résiste malgré une baisse d'utilisation !

Des plateformes telles que Wero, Paypal ou les services de transfert instantané des banques rendent ces paiements possibles en quelques instants, sans frais additionnels ni complications. D’après une enquête récente, plus de 60 % des Français affirment recourir à ces moyens au moins une fois par mois, simplifiant ainsi les transactions financières quotidiennes.

La recherche de nouvelles sources de revenus fiscaux par l’État

Devant la montée en puissance de ces transactions privées, le ministère de l’Économie envisagerait de capter une nouvelle source de revenus fiscaux encore inexploitée : une taxe sur les transferts d’argent entre particuliers. Suivant l’exemple de certains pays, cette initiative viserait à prélever un pourcentage modeste sur chaque transaction entre amis, dans le but de combattre « l’économie informelle ». Avec un taux proposé de 0,5 %, l’État espérerait ainsi collecter plusieurs millions d’euros annuellement pour réduire le déficit public.

Cependant, cette mesure pourrait ne pas être accueillie favorablement… jusqu’à ce qu’on découvre qu’il s’agit en fait d’une plaisanterie pour le 1er avril !

Lire aussi  Solidarité en crise: les dons chutent drastiquement en 2024!
4.2/5 - (18 votes)

Laisser un commentaire

Partages